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 economie sociale partie 6

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titeninie




Messages : 19
Date d'inscription : 05/10/2009

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MessageSujet: economie sociale partie 6   economie sociale partie 6 EmptyLun 5 Oct - 22:07

Chapitre Quatre
La consommation et l’épargne

La consommation et l’épargne sont au centre des débats de politique économique. Elles constituent les deux formes de l’utilisation du revenu et, à ce titre, déterminent ce que sont l’investissement et la croissance économique.
La consommation et l’épargne prennent chacune des formes variées qui méritent d’être identifiées. De plus, en raison de l’évolution du comportement des agents économiques, il est nécessaire d’analyser les mutations observées quant à la structure de la consommation et de l’épargne.
Le rôle de chacune dans l’augmentation de la croissance économique et les déterminants de chacune ont fait l’objet d’une controverse théorique entre courant libéral et keynésien.
Y=C+S Y = REVENU
C=Y-S C = CONSOMMATION
S=Y-C S = EPARGNE

Le revenu est réparti entre la consommation et épargne. La consommation est étudiée ici sous une approche macro-économique.

A)Les principales formes de la consommation et de l’épargne
1)Définition de la consommation
La consommation finale consiste en l’acquisition ou en l’achat d’un bien ou d’un service dont l’utilisation entraîne la disparition plus ou moins rapide, par destruction ou par transformation, pour satisfaire les besoins des agents économiques.
La consommation reste la principale fonction des ménages car, selon certaines sources elle représente 84% de leurs revenus.
2)Définition de l’épargne
L’épargne est une partie du revenu qui n’est pas encore consommé. Selon certaines sources, elle représente 16 % du revenu des ménages.
3)Les principales formes de la consommation
3.1) Consommations intermédiaires
C’est un acte par lequel le bien ou le service consommé est utilisé ou transformer en vue de produire un autre bien ou un autre service au cours d’un processus de production.

3.2) Consommation marchande et non marchande
La consommation marchande consiste en l’achat d’un bien ou d’un service marchand dont le prix couvre au moins le coût de production.
En revanche, la consommation non marchande consiste en l’acquisition d’un service non-marchand ou service public dont les prix sont nettement inférieurs aux coûts de production.

4)Les formes principales de l’épargne
4.1) L’épargne de précaution
Elle désigne la fraction de l’épargne consacrée à faire face aux risques éventuels pour se protéger contre la maladie, la perte de l’emploi ou encore les accidents de la vie. Les ménages peuvent constituer une épargne de précaution.

4.2) L’épargne spéculative.
C’est l’ensemble des revenus épargnés dans le but de tirer profit des occasions de plus-values en capital (achat d’actions, de logement,…) dans l’espoir de voir leur prix monter.

4.3) L’épargne financière et non financière
L’épargne financière comprend la thésaurisation (fait de garder des liquidités chez nous sans le mettre dans le circuit financier), les placements monétaires et les placements financiers.
L’épargne non financière consiste en l’acquisition de biens immobiliers et d’investissement des entreprises individuelles.
B)La structure de la consommation et de l’épargne
1)Fonction keynésienne de la consommation
Elle est représentée par une forme simplifiée linéaire donnée par l’équation suivante
C=Co+cY
Co= consommation incompressible ;
c= propension marginale à consommer ;
Y= revenus ;
C= consommation finale

Dans cette relation, le niveau de consommation finale (C) est expliqué par le niveau du revenu (Y).
La consommation incompressible (Co), exprime le fait que même en l’absence de revenus (si Y=0), la consommation n’est pas nulle (C≠0).
Explication : La consommation d’un ménage est la somme de la consommation incompressible représentée par Co (besoins vitaux – manger, se chauffer, se loger,… ) à laquelle ou ajoute la propension marginale à consommer en fonction du revenu cY (plus le revenu sera élevé, plus on aura de marge pour consommer ce qui n’est pas vital). Un ménage modeste aura une consommation C dont la plus grande partie sera attribuée à sa consommation incompressible.
Dans un état d’extrême misère, on ne peut se passer de manger. Cette consommation incompressible est autonome par rapport aux revenus. Elle recouvre approximativement la notion de minimum vital (même les clochards consomment).
La fonction d’épargne est directement issue de la fonction de la consommation et traduite par l’équation suivante
S= sY - Co
S = épargne ;
s = propension marginale à épargner 

Explication : L’épargne qu’un ménage va pouvoir effectuer est définie par rapport à ce qui lui reste de son revenu après qu’il aie réglé sa consommation incompressible. Plus il lui restera de revenus, plus il aura la possibilité d’épargner une somme conséquente.
2)Loi psychologique fondamentale de Keynes
Selon cette loi : « les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que leurs revenus croient, mais non d’une quantité aussi grande que l’accroissement du revenu ».
Le commentaire de cette loi laisse apparaître deux caractéristiques majeures :
Lorsque le revenu des ménages augmente, leur consommation augmente aussi.
Cette augmentation de la consommation est inférieure à celle du revenu.

3)La propension moyenne à consommer et à épargner
3.1) La propension moyenne à consommer (PMC)
C’est le rapport de la consommation totale au revenu total observé pendant une période donnée.
Ct
PMCt = X 100
Yt

t exprime alors un indice de temps (ex : 2007)

NB : La propension moyenne à consommer est notée PMC en majuscules, ne pas confondre avec pmc qui est la propension marginale à consommer.

Elle est la part du revenu destiné à la consommation, quelquefois appelé taux de consommation. Elle est exprimée en pourcentage. Généralement elle ne varie que très peu d’une année sur l’autre, c’est pourquoi il faut noter au moins deux chiffres après la virgule.

Exemple : une famille a un revenu annuel pour 2007 de 25 000 €, elle a pu épargner 2 500 €, elle a donc consommé 22 500 € donc sa PMC en 2007 représente :
(22 500/25 000) x 100 soit 90,00 % (ne pas oublier les 2 chiffres après la virgule car ils servent à établir des comparaisons d’une année sur l’autre.)

3.2) La propension moyenne à épargner (PMS)
C’est le rapport de l’épargne totale au revenu total observé pendant une période donnée.
St
PMSt= X 100
Yt

C’est la part du revenu consacré à l’épargne on l’appelle aussi le taux d’épargne.
Dans l’exemple précédent cela représenterait donc 10 % car l’épargne était de 2 500 et le revenu total de 25 000. Car (2500/25000) x 100 = 10,00%

PMC = 100% - PMS
PMS = 100% - PMC


4)La propension marginale à consommer et à épargner
4.1) La propension marginale à consommer (« pmc » ou « c »)
C’est le rapport de la variation de la consommation sur la variation correspondante du revenu au cours d’une période donnée. Soit :
ΔC
pmc ou c = X 100
ΔY

C’est la part de la variation du revenu consacré à la consommation.
Exemple : Une famille a vu son revenu augmenter de 1000 euros en 2007 (ΔY), par ailleurs elle a aussi vu sa consommation s’élever de 400 euros (ΔC). Sa pmc représentera donc pour ce qui est de l’année 2007 à (400/1000)x100 soit 40,00 %. Elle a donc consacré 40,00 % de son augmentation de budget à la consommation.

4.2) La propension marginale à épargner (pms)
C’est le rapport de la variation de l’épargne sur la variation correspondante du revenu au cours d’une période donnée.
ΔS
pms ou s = X 100
ΔY
Où S représente l’épargne et Y les revenus.
Elle est la part de la variation du revenu consacré à l’épargne
Dans l’exemple précédent, la variation du revenu était de 1000 €, celle de la consommation de 400 €, on peut donc supposer que la part de l’épargne consacrée a cette augmentation de revenu représente 600 € ( 1000 – 400 ou ΔY- ΔC ). Donc la pms de cette famille pour l’année 2007 est représente (600(ΔS)/1000(ΔY)x100 soit 60,00%
Récapitulatif
Y=C+S alors C=Y-S
et S=Y-C
PMC+PMS=100% donc 100-PMS=PMC
et 100-PMC=PMS
pmc+pms=100%ΔY alors pmc=100-pms
et pms=100-pmc

5)Le coefficient budgétaire (cb)
Il mesure la part de la consommation allouée à un bien particulier (Ci) dans le budget consacré à la consommation (C), soit :
Ci
cb = X 100
C
Exemple : Pour un revenu total de 2000 €, une épargne de 500, et un loyer de 300. La part du revenu allouée à la consommation sera donc de 1500 € (Revenu – épargne), et le loyer (Ci) représentera (300/1500) X 100 soit 1/5ème de la consommation donc 20%.
6)Elasticité des prix à la demande et Elasticité des revenus à la consommation (ep)
6.1) L’élasticité des prix à la demande
L’élasticité des prix à la demande est la variation de la demande d’un bien consécutive à la variation du prix de ce bien.
(ΔQ/Q)
ep =
(ΔP/P)

Q représente la Quantité de biens, P représente le Prix de ces biens.
Si l’élasticité des prix est égal à -1, cela signifie que suite à une augmentation du prix du produit de 1%, la consommation a diminué de 1%. En général, l’élasticité à la demande est négative.
Toute augmentation de prix entraine une diminution de la demande.
6.2) l’élasticité des revenus à la consommation
Ce ratio mesure l’impact de la consommation totale sur la consommation d’un bien particulier d’une variation de 1 % du revenu.
(ΔC/C) (ΔCi/Ci) « i » représentant
er = ou dans ce cas un bien
(ΔY/Y) (ΔY/Y) particulier

En fonction de cette élasticité de revenus, Engel distingue trois types de biens qui forment ce que l’on appelle «les lois d’Engel» :
Les biens inférieurs, sont les biens dont la consommation diminue lorsque les revenus augmentent (er<0).
Les biens normaux dont l’élasticité est comprise entre 0 et 1.
Les biens supérieurs, dont l’élasticité est supérieure à 1.

C)Les débats théoriques autour de la consommation et de l’épargne
1)Quel est le moteur de la croissance économique : épargne ou consommation ?
Cette question oppose le courant libéral au courant keynésien.
Selon le courant keynésien, la consommation reste le moteur de la croissance économique car l’augmentation de la consommation entraîne une augmentation de la demande qui entraîne une augmentation de la production qui favorise la croissance économique.
Cette approche ne manque cependant pas de limites car une consommation très élevée peut provoquer la faiblesse de l’épargne qui limite la possibilité d’accorder des crédits de financement pour les investissements d’entreprises.
En revanche, pour le courant libéral, c’est l’offre des entreprises qui commande l’économie et donc l’épargne reste le moteur de la croissance économique. L’épargne permet aux institutions financières d’accorder des crédits de financement aux entreprises pour réaliser leur production, favorisant ainsi la croissance économique.
Cependant, cette approche ,ou théorie libérale, peut être nuancée car une épargne trop élevée affaiblit la consommation qui constitue les débouchés des entreprises qui sont nécessaires à leur investissement.
2)Les déterminants de la consommation et de l’épargne
Une controverse théorique surgit à nouveau entre le courant libéral et le courant keynésien au sujet de l’élément que détermine le niveau de l’épargne et le niveau de la consommation.
Selon le courant libéral, la priorité dans le partage du revenu porte sur l’épargne et ceci en fonction du taux d’intérêt. Plus le taux d’intérêt est élevé, plus les agents économiques sont incités à épargner. La consommation apparaît donc aux yeux des libéraux comme un résidu, c’est-à-dire une partie du revenu qui n’est pas épargné.
La limite de cette approche est que le taux d’intérêt trop élevé pénalise non seulement les investissements, car les entreprises ne sont pas incitées à investir en raison de la baisse de leurs profits, mais aussi que la hausse des taux d’intérêt provoque la baisse du pouvoir d’achat des ménages.
En revanche, pour le courant keynésien, le niveau de la consommation est déterminé en fonction du niveau du revenu. Théorie justifiée par la loi psychologique fondamentale de Keynes.
Lorsque le revenu augmente, la consommation augmente aussi mais d’une proportion moins importante. Alors l’épargne apparaît aux yeux des keynésiens comme un résidu qui se définit toujours en fonction de la consommation. Même si le courant keynésien rejette l’influence du taux d’intérêt dans le partage du revenu entre la consommation et l’épargne, il reconnaît cependant que le taux d’intérêt peut influencer le montant de l’épargne, une fois déterminée son orientation soit vers une épargne financière, soit vers une épargne non financière (immobilier).
3)L’analyse théorique de la consommation.
L’observation des faits semble confirmer le rôle déterminant du revenu dans la consommation comme le prévoit le courant keynésien. Cependant, le rôle du revenu courant (revenus perçus à un moment donné) détermine de moins en moins la consommation en raison du développement de nouvelles théories sur la consommation.
3.1) La théorie de la relativité du revenu
La critique contre le revenu courant dans la détermination de la consommation est soulevée en 1949 par DUESENBERRY, un néo-keynésien. Selon lui, la consommation est un symbole social qui dépend du groupe social auquel l’individu cherche à s’identifier dans la société. Ce groupe social exerce un effet de démonstration sur l’individu qui cherche à l’imiter dans la consommation même si son revenu courant ne le permet pas.
3.2) L’effet de cliquet ou théorie de la relativité temporelle.
Selon BROWN en 1952, la consommation des ménages dépend du revenu les plus élevés qu’ils aient atteints dans le passé et avec lequel ils ont acquis leurs habitudes de consommation. Ainsi, en cas de baisse temporelle du revenu, les ménages maintiennent leur niveau de consommation habituelle en puisant dans leurs épargne ou en s’endettant.
3.3) La théorie de revenu permanent
Selon le monétariste Friedman en 1957, la consommation ne dépend pas du revenu courant mais du revenu moyen anticipé à plus ou moins long terme appelé revenu permanent. Ainsi, si le revenu moyen anticipé est supérieur au revenu courant, les ménages peuvent consommer sans souci sur l’avenir. Alors que, si le revenu moyen anticipé est inférieur au revenu courant, ils peuvent penser à constituer une épargne de précaution pour préparer leur avenir.

3.4) La théorie du cycle de vie
Selon Francesco Modigliani en 1954, la consommation des ménages ne dépend pas du revenu courant mais du cycle de vie qu’il décompose en trois phases distinctes :
La jeunesse, qui est la période du début de la vie active de l’individu au cours de laquelle sa consommation est supérieure à son revenu. Ce qui ne lui permet pas d’épargner et l’oblige même à emprunter pour compléter le montant des ressources nécessaires à sa consommation désirée.
La maturité, qui est la période de pleine vie active durant laquelle le niveau de revenu de l’individu est supérieur à son niveau de consommation. Dans un premier temps, l’individu utilise le surplus de son revenu pour rembourser l’emprunt qu’il a contracté au cours de la phase de jeunesse. Dans un second temps, l’individu consacre le surplus de son revenu à l’épargne qui sera nécessaire pendant la phase de retraite.
La retraite, qui est la période de la vie de l’individu au cours de laquelle son niveau de revenu est inférieur au niveau de sa consommation. Ce qui l’oblige à désépargner, à puiser dans son épargne accumulée pendant la phase de maturité.
Ainsi, la théorie du cycle de vie de Modigliani peut se résumer en trois mots :
Emprunter, épargner, désépargner.
Cependant, cette théorie du cycle de vie à des limites car elle repose sur des hypothèses contraignantes qui réduisent sa portée :
Les ménages doivent savoir anticiper sans trop d’erreurs leur revenu.
Ils doivent pouvoir trouver sur les marchés financiers les ressources dont ils ont besoin.
Ils doivent savoir anticiper leur durée de vie.
Le système de retraite doit fonctionner par capitalisation.

Revenu


Jeunesse Maturité Vieillesse
Si l’agent économique ou industriel désire mourir sans dette et en ayant profité pleinement de ses ressources, on doit avoir l’équation M=J+R alors qu’on sait que dans la vie réelle l’individu a toujours tendance à laisser un héritage.
4)L’évolution de la consommation et de l’épargne
4.1) L’évolution de la consommation
La consommation a connu au cours du XXe siècle dans les pays développés, une transformation à la fois quantitative et qualitative.
La transformation quantitative est marquée par la hausse significative des quantités des biens et services à la disposition des ménages. On parle de consommation de masse.
La transformation qualitative se caractérise par l’évolution de la structure de consommation des ménages. En effet, dans nos sociétés de consommation de masse, les ménages transforment du fait, en particulier de l’influence publicitaire, les besoins dits « secondaires » (services, loisirs,…) en besoin « primaire » (se loger, se vêtir, se nourrir, se chauffer, s’éclairer, ...) qui sont essentiels à la survie de l’homme sur terre.
Par le développement de la publicité et du marketing, les entreprises créent des besoins qui influenceront les choix de consommation des ménages. Les entreprises suscitent et créer des demandes par l’offre.
4.2) L’évolution de l’épargne
Le ralentissement du pouvoir d’achat des revenus et la baisse de l’inflation n’ont pas provoqué la baisse du taux d’épargne des ménages français depuis 1990.
Ce paradoxe s’explique essentiellement par trois raisons :
Le comportement de néo-Ricardien des ménages français.
L’épargne de précaution en raison de la hausse du chômage.
L’épargne spéculative pour profiter des avantages de la libéralisation financière.
Le comportement néo-Ricardien et l’expression d’anticipations rationnelles de la part des ménages qui établissent une équivalence entre l’aggravation du déficit budgétaire d’aujourd’hui et l’augmentation des impôts demain pour rembourser ses déficits.
Face à l’aggravation des déficits publics, les ménages français vont augmenter leur taux d’épargne en prévision de la hausse future des prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales). Cette approche s’appuie sur le théorème d’équivalence de Riccardo.
Les inquiétudes suscitées par l’avenir des retraites et la hausse du chômage ont conduit les ménages français à constituer une épargne de précaution qui leur permettra de faire face aux risques accrus de la baisse de leurs revenus. La libéralisation financière intervenue en France à partir de 1985 avec une offre variée et concurrentielle de produits financiers a conduit les ménages à se tourner vers l’épargne financière mieux rémunérée et faiblement risquée.

Conclusion
La consommation et l’épargne constituent la fonction principale des ménages, elles ont fait l’objet d’un sujet de controverses théoriques entre le courant libéral et le courant keynésien notamment à propos de leurs déterminants, mais aussi à propos aux du partage du revenu entre les deux.
Les ménages consomment des biens et des services pour satisfaire leurs besoins. Les choix qu’ils sont amenés à faire dans le cadre de leur consommation sont influencés par leurs revenus, le taux d’intérêt, les prix, mais aussi par le marketing et la publicité qui deviennent une arme précieuse à la conquête des parts de marché pour chaque entreprise et surtout les multinationales en quête de parts de marché international.
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